ADMINISTRATIF — Le bâtiment principal de l'université est le plus grand du campus, puisqu'il rassemble tout ce qui est réfectoire, infirmerie, mais aussi les dortoirs d'un côté et de l'autre du bâtiment. On y croise énormément d'agents, surtout le matin et à l'heure des repas puisque tout est concentré ici. Coeur du pouvoir, on y trouve aussi le bureau d'Asalka, caché quelque part, loin des yeux indiscrets. C'est actuellement le seul bâtiment à avoir été entièrement rénové et à être dépourvu de zones d'ombres nécessitant une exploration.

AILE NORD — L'aile nord du domaine est supposément la plus studieuse puisqu'on y retrouve l'imposante bibliothèque ainsi que des salles de travail, certaines assez poussiéreuses, mais qui ont le mérite d'être loin de l'agitation, donc extrêmement silencieuses. Il n'est pas rare d'y croiser quelques agents, de jour comme de nuit, certains couche-tard préférant potasser dans les vieux livres plutôt que de fixer le plafond en attendant le sommeil.

AILE EST — L'aile est est indéniablement l'aile sportive du bâtiment, en atteste la présence de l'immense salle de duels, et les salles reconverties en lieux d'entraînement pour ceux voulant réviser leurs sortilèges, nouveaux et anciens. Le bâtiment n'a cependant pas été entièrement exploré, et il serait peut-être dangereux de s'aventurer plus loin pour en savoir plus, bien que ce ne soit pas interdit.

AILE OUEST — Si ce bâtiment n'est pas le plus grand de l'académie, il fait tout de même partie des plus imposants, autant grâce au planétarium qu'il abrite que par la présence de l'observatoire sous-marin qui permet d'observer les créatures du lac sans se mettre en danger. De nombreux cours ont lieu ici, alors le silence et l'assiduité restent de mise pour ne pas déranger ceux qui travaillent, et ne pas s'attirer le courroux d'un professeur.

SOUS-SOLS — Parce que la bâtisse est vieille, elle s'étend également sous terre, dans une ramification de couloirs et de vieux conduits, certains éclairés par des torches à la lumière vacillante, d'autres plongés dans le noir. Autant prévenir tout de suite : les responsables n'ont pas jugé bon d'explorer les souterrains et n'ont fait que le minimum syndical, au moins pour s'assurer que le bâtiment n'était pas posé sur des fondations croulantes.